Soirée Hard Night (OUVERT A TOUS !)

Après présentation de l'alcoolique et rangement de basse -Hide se félicitait d'ailleurs que sa fidèle guitare soit en sécurité sous son lit, le garçon revint vers lui. Aquiesçant à sa proposition de s'extirper de cet endroit, Hide cala l'un des bras de Daisuke sur ses épaules, et fit comprendre au bassiste d'en faire de même de son côté. Okay, le gars n'était pas bien gros, mais Matsuda étant muni de la même carrure de sardine anémiée, il ne s'en serait pas sorti seul.

_ Tu sais où il crèche ?

Les trois jeunes commencèrent à se frayer un chemin hors du bar, faisant moult détour pour éviter bousculades et jets d'objets divers, témoignant du grabuge imminent. Après quelques sueurs froides, ils se retrouvèrent sur le trottoir, en relative sécurité.

** Me sens pas l'âme d'un chevalier... Mais avec ce sympatique poids mort...**

Une fois à l'air libre, Hide se souvient qu'ils avaient négligé les présentations :

_ Au fait, je m'appelle Matsuda Hideto, mais tout le monde m'appelle Hide. Et je suis du lycée Sendai Kookoo. Et toi ?

Les deux firent les présentations, quand soudain, les types du bar ( un peu éméchés )
arrivèrent avec couteaux, cuilleres et autres armes destructrices volés dans le bar ...

Mais, alors que tout espoir de survivre semblaient vint, Daishuke retrouva ses esprits ...
( suspense )
Il se jeta sur le mec à la cuillere, mais ses amis se jetèrent sur lui et ils se massacrèrent tous ensemble ...

Après que Kawashi ait mit l'autre bras de Daishuke sur son épaule, tenant sa case avec la bass de l'autre bras, lui et Hideto sortirent, tant bien que mal, après avoir vu quelques bouteilles ne pas passer loin, du bar et se retrouvèrent enfin à l'air libre. Alors, tout en regardant le foutoir dans le bar, il répondit à la question que lui avait posé Hide quand ils étaient encore dans le bar :

"Oui, au lycée Sendai K."

Alors, l'adolescent se présentant. Il se nommait Matsuda Hideto mais ajouta que tout le monde l'appelait Hide. Il conclua par le fait qu'il était au lycée Sendai Kookoo, plus communement appelait Sendai K. Mais tout le monde de cette grande ville allait à Sendai K ? En tout cas, il commençait à connaitre encore plus de monde que l'année dernière.

"J'y suis aussi à Sendai Kookoo. D'ailleurs vaudrait mieux se dêpecher de rentrer autrement on arrivera après le couvre-feu."

Mais alors, quelques types sortirent du bar en trombent et allaient se jeter sur eux pour aucune raison particulière, ils étaient seulement completement bourrer. Ils allaient se mettre à courir mais Daishuke reprit ses esprits et se jetta sur eux pour ensuite commence rà se faire rosser par les autres.

"Mais quel boulet !"

Il le tira par le maillot et dit à Hideto :

"On ferait mieux de courir tu ne crois pas ?"

Ainsi ils étaient camarades de lycée. Hideto se souvenant vaguement d'avoir déjà croisé la petite brune aux yeux verts, petite amie de Shu, dans les couloirs du lycée, et il y avait fort à parier que le blond venait aussi du même endroit. Un peu plus, et il se mettrait à croire que la ville appartenait au lycée.

_ Le couvre-feu ? On l'a déjà raté je crois...

** Soyons positifs, on n'aura pas quatre mille détours à faire pour ramener chacun chez soi !!! **

Mais ce sursaut d'optimisme de la part du garçon se trouva en fort mauvaise posture après l'intervention d'un groupe de joyeux drilles ayant vraisemblablement dévalisé les cuisines, qui paraissaient d'une aggressivité crasse. Pour aranger les choses, la princesse endormie retrouva ses esprits au même moment, et se jeta au milieu des autres, créant une magnifique mélée, au grand désarroi des deux autres lycéens.

** Ben... Ils n'ont pas l'alcool gai, eux... **

Lorsqu'Hideto avait un peu trop bu, -ce soir, il était à la limite d'ailleurs, même si les péripéties déssoûlaient vite, il ressentait une vague d'amour et de compréhension pour l'Humanité avec un grand H, et pas la moindre envie de se battre, ou de se noyer dans un abîme de désespoir. Se mordant la lèvre, il essayait de distinguer son camarade des autres ivrognes, quand le bassiste gothique tira Daisuke à l'écart en maugréant, et leur proposa de tester leurs talent à la course à pied.

_ Idée fort judicieuse.

Tirant Daisuke par une manche, Hide se mit à courir, ses cheveux formant un halo fluo autour de lui. Il ne connaissait pas particulièrement Sendai, mais s'engouffra tout de même dans un dédale de petites ruelles, malheureusement peu éclairées par les lampadaires. Faisant attention à ne pas trébucher, ils s'enfoncèrent de plus en plus loin dans la ville, jusqu'à égarer leurs poursuivants. S'arrêtant brusquement, Hide se trouva assez désorienté.

_ On est plutôt loin de l'artère principale, non ?

_

Et ils s'étaient mis à courir comme si ils avaient le diable aux trousses, près à bondir sur eux à n'importe quel moment. Les autres les suivaient mais rapidement, en s'engouffrant dans les petites rues de la ville, ils reussirent à semer les ivrognes brandissant leurs armes blanches. Ils s'arrêtèrent donc avec leur fardeau qui n'était autre que Daishuke. Hide lui demanda alors si ils étaient loin de l'artere principal. Kawashi regarda à droite...à gauche...et se passa la main dans les cheveux avant de lui dire :

"Je n'en sais rien du tout ! Et on va dormir où cette nuit vu que les portes du lycée sont déjà fermées."

Hide aurait bien aimé recevoir une réponse un peu plus claire de la part de ses aînés. Mais Daisuke ne pipait mot, et l'autre, même s'il gardait son calme, semblait désemparé. Restait en effet le problème de leur logement pour la nuit. Le jeune garçon grimaça. Passer la nuit dehors ne lui disait absolument rien. Il l'avait fait une fois, défié par le fils de sa belle-mère. Et heureusement que des vagabonds l'avait pris en pitié et invité à leur tenir compagnie, sinon il serait très certainement mort de peur.

** Enfin, je n'ai plus dix ans, et je ne suis pas tout seul. **

Il fit un sourire rassurant à ses camarades, un sourire normalement réservé à calmer son petit frère lorsqu'il paniquait à juste titre, un de ceux qui disait "on est dans la merde et je ne promets pas qu'on va s'en sortir, mais on va faire de notre mieux". S'adossant contre un mur, il réfléchit :

_ Bon, on n'a pas trente-cinq mille solutions... Soit l'un d'entre-nous possède une chambre, ou connais quelqu'un qui pourrait nous héberger pour la nuit, je vous avertis tout de suite que ce n'est pas mon cas, soit nous avons assez d'argent et de chance pour nous payer un hôtel ouvert à cet heure, soit, et c'est ma dernière proposition, on ne dort pas cette nuit. Alors ?

C'est vrai que la question qu'avait posé Kawashi était vraiment ridicul. De plus, il connaissait aussi bien la réponse à sa question. Hideto leur sourit alors d'un air réconfortant et énumera leurs possibilitées. Elles n'étaient pas nombreuses et bien que la première était la meilleure, elle serait irréalisable car, tout comme Hideto, pour Kawashi, ce n'était pas du tout le cas !

"Pour moi, c'est pareil, je ne connais personne."

Ensuite, il proposa l'hotel. Celle là était déjà plus réalisable. Kawashi avait été payé pour qu'il puisse jouer mais ne pourrait payer que pour deux personnes et pas pour trois. Dommage mais celle là tombait aussi à l'eau. Il ne restait donc que la dernière, celle de dormir dehors ou de ne pas dormir du tout. Il soupira et dit :

"De toute façon, je ne pense pas qu'on ait le choix."

Kawashi réfuta ses deux premières propositions, sans surprendre Hide, qui fit une moue légèrement attristée. Mais ses yeux se plissèrent bientôt, tandis que les coins de sa bouche se relevèrent, et il se retrouva avec un sourire de chat sur le visage.

_ Et bien, c'est l'occasion de visiter la ville à fond... À moins que Daisuke ait une autre solution, nous n'avons plus qu'à marcher !!!

Joignant le geste à la parole, Hide emprunta une rue, puis une seconde, une troisième... un cul de sac qui les fit revenir sur leurs pas, tourner à droite, passer derrière un garage, re-tourner à droite, et, sans trop savoir comment, ils se retrouvèrent sur un boulevard très bien éclairé. Là, un dilemne se posa à l'esprit d'Hide, et il l'exposa à ses camarades.

_ Euh... il n'est pas encore deux heures du matin, je pense qu'il reste des bars d'ouverts... Mais je suis pas sûr que ça soit une bonne idée de prolonger la soirée de cette manière...
** Pourtant, qu'est-ce qu'il fait froid !!! **

Alors que Kawashi pensait qu'Hideto serait plutôt deçu de sa réponse ce qui, dans un premier temps sembla vrai, l'expression sur le visage d'Hideto changea completemet et il se mit à sourire et leur déclara que c'étaitla bonne occasion pour visiter totalement la ville. Il ajouta que c'était ça amoin que Daishuke ait une meilleur idée. Kawashi eu un rire assez court et dit à Hide :

"Cette outre à vinnase ? Il faudrait déjà qu'il dessoule !"

Alors, ils se mirent en route, passant sur des petites rues, tombant dans des culs de sacs, reprennant à droite, à gauche, refaisant demi-tour, finalement, ils se retrouvèrent sur un boulevard éclairait par un nombre incalculable de lampadères. Kawashi sourit. Enfin !! Alors, Hide proposa d'aller dans un bar. Kawashi regarda Daishuke et reporta son regard sur Hide avant de lui répondre :

'Ca me derange pas moi mais si on entre dans un bar avec lui, en montrant Daishuka d'un coup de tête, ce sera dur ! A moin qu'on l'abandonne ici !"

Remuant un index réprimandeur devant le nez de la personne la plus censée de leur petite troupe, Hide retorqua :

_ On n'abandonne pas un homme à terre... Même s'il vient de vomir sur vos godasses !!!

** Proverbe de mercenaires alcooliques... Et tellement vrai... **

_ En attendant, je caille... Tu sais pas où on pourrait aller ? Une fabrique de chaudière, un club des pyromanes amateurs, une salle de jeux cladestine, un truc dans le genre...

Kawashi vit alors Hide le pointer du doigt et le réprimander en lui disant qu'on abandonnait jamais un homme à terre même si il venait de vomir sur ses chaussures. Kawashi sourit. Ce gars là lui plaisait bien, son temperament. C'était une personne commen on n'en rencontre pas tous les jours decidemment ! Il lui demanda alors si il ne connaissait pas un endroit chaud en donnant des exemples assez louffoques. Kawashi lui sourit d'un air desoler et dit alors :

"Non, désolé !"

Kawashi se mit alors à reflechir...Il fallait trouver quelque chose pour ne pas mourir de froid. Il soupira, ne trouvant rien pour le moment et reparla à Hideto pour lui demander :

"Tu ne sais pas si l'un des professeurs n'a pas un logis en ville ?"

Kairi était allez faire un tour en ville, elle s'était acheter deux, trois trucs pour faire à manger, même si il était tard. Eh oui la professeur d'Anglais mange assez tard. Elle avait prit de quoi faire un excelent repas! Miss Richiko savait parfaitement bien faire la cuisine, et tout le monde lui disait souvent! Elle prit le chemin du retour. Sur la route de la maison, elle aperçu trois jeunes, dont un endormi. Elle alla les voir.

"Hello! You need help? Your friend is in a nasty state!"

Kairi ne s'était pas rendu compte qu'elle avait parler anglais, elle répéta alors.

"Sorry, j'ai l'habitude de parler anglais. Donc je disait, vous avez besoin d'aide? Votre ami est dans un sale état!"

Kairi souria au jeunes hommes, signe qu'ils pouvait lui faire confiance.

Soudain, la Providence se changea en anglaise. Une jeune femme vint leur proposer son aide, mettant Hide dans l'embarras. Comment expliquer à une inconnue qu'ils étaient à la rue avec l'un d'eux complètement bourré ?

_ En fait, nous risquons à tout moment de nous transformer en statue de givre... Mis à par Kawashi, qui se transformerait en statue de givre soûle. Donc oui, si vous connaissez un endroit chaud...

Hide arborait une moue mi-navrée mi-ironique, peut convaincu de leur sauvetage soudain. Mais il se devait d'être poli envers les bons samaritains.

Hideto n'eut pas le temps de répondre à celui qui l'avait questionné, c'est à dire Kawashi car une femme vint s'adresser à eux...en anglais. Kawashi comprit ce qu'elle avait dit puisqu'il parlait assez bien l'anglais. Il se tourna vers la femme et sembla l'avoir déjà vu quelque part, mais où ? Cela le traquassait telement qu'il n'entendit même pas la réponse de son ami. Il devisageait la femme. mais où avait-il bien put voir son visage ? Kawashi baissa la tête et prit son menton entre son pouce et son index. Il avait l'air stupide de tout à coup faire ça mais ça le tracassait vraiment. Qui était-elle ?

Les trois jeunes avait effectivement l'air frigorifié, il tremblait de temps en temps. Apparemment le garçon qu'elle pensait endormi était simplement soul. Elle voulu alors proposé son aide.

"Un endroit chaud vous dite? Pourquoi pas venir chez moi? Je m'appelle Richiko Kairi, professeur d'anglais au lycée Sendai K. vous devez sûrement connaitre."

Kairi fit la révéance comme on lui avait toujours dit de faire dans sa famille lorsqu'elle se présentée. Il est vrai qu'elle n'a jamais oublié les bonne manière. Elle se releva en souriant.

** Ouh là... je dois m'être endormi sans m'en être rendu compte... **

Hide restait ébahi devant la proposition de la jeune femme de les accueillir chez elle. D'un naturel sympathique, ce n'était pas la première fois qu'on lui témoignait une gentillesse irraisonnée, mais là, ça frisait le délire. Une femme jeune qui invitait trois adolescents frigorifiés dont un pilier de bar... soit c'était un piège (après tout, elle était prof dans leur lycée, d'après ce qu'il avait entendu), soit... Le garçon à la coiffure rose faillit réprimander la femme, lui expliquer que ce n'était pas prudent d'inviter des inconnus dans sa demeure. Mais il devait bien s'avouer que son aide serait la bienvenue, et lui sourit le plus agréablement qu'il pu.

_ Ce serait avec plaisir, Kairi-sensei.

Il ouvrit la bouche pour ajouter qu'ils étaient eux-mêmes élèves au lycée Sendai K. mais préféra s'abstenir, doutant de la réaction de ses acolytes.

Kawashi sembla à la proposition de la jeune femme, aussi ébahit que son nouvel ami Hideto Matsuda. En effet, etait-ce bien prudent qu'une femme, aussi charmante qu'elle, propose à adolescent, dont l'un était, qui plus est, dans un sale état à cause de l'alcool, d'aller chez elle pour avoir un endroit chaud. Etait-ce un piège ? Mais alors, elle donna son nom. Richiko Kairi. Mais bien sûr, c'était une professeur d'anglais au lycée Sendai Kookoo. Il la pointa du doigt et s'écria alors :

"Mais bien sûr je me souviens ! C'est vous Richiko-sensei !!!"

Oui, il venait enfin de se souvenir où il l'avait vu ! C'était au lycée à la rentrée. Alors comme ça, c'était la professeur d'anglais qui venait de leur proposer d'aller s'abriter du froid chez elle. Il se pencha vers Hideto et lui dit à l'oreille assez bas pour que le professeur d'anglais n'entende pas :

"Hide, tu crois toujours pas qu'il faudrait abandonner Daishuke à son sort ?"

Son camarade, si Hide en croyait l'exclamation venant de parvenir à ses oreilles, venait de re-situer le professeur, ce qui lui fit comprendre qu'il l'aurait certainement en cours lui aussi. Elle avait l'air très gentille, mais entamer l'année scolaire avec une dette envers un de ses professeurs ne faisaient pas partie de ses projets.

* Bof... au moins j'aurais des choses à raconter à mon frère...*

Il fronça les sourcils en entendant encore une fois parler d'abandonner Daisuke à son sort de barrique de vin. Sans être particulièrement philantrope, l'idée de se débarasser de quelqu'un lui répugnait, et bien qu'il ne connaisse pas le garçon, et qu'il ne ressente pas de sympathie particulière pour sa personne, il refusait de se conduire de la sorte.

_ De toute façon au point où on en est, autant aller jusqu'au bout.

Re-calant un peu mieux le garçon, il attendit la réaction de la professeure.

Kairi, d'un naturel toujours très serviable, resta avec un sourire au lèvres. Il est vrai que on le lui avait appris. Mais vu l'exclamation d'une des garçons, ils étaient sûrement au lycée eux aussi.

"Bien, alors si vous êtes prêts, on peu y allez?"

Kairi se retourna, et commença à partir vers son appartement. Il est vrai que c'était dangereux, mais elle avait confiance, et puis elle avait Aoko, elle protègerai le professeur, et c'est pour ça qu'elle ne pouvait qu'être confiante.

"Au faite, si vous voulez pas avoir de dettes envers moi, vous pourrez toujours sortir Aoko, elle est très gentille, vous verrez."

Elle souria, et continua à marcher dans la rues, saluant plusieurs personnes, qui avait l'air assez brutes, mais Kairi connaissait à peu près tout le quartier, il était donc normal qu'elle dise bonjour. Une fois arrivé, elle entra dans le hall de l'immeuble, ils prirent l'ascenseur jusqu'au troisième. Puis à gauche. Arrivé là, elle ouvrit la porte fermé à clé, Aoko, sorti alors et lui fit la fête.

"Coucou! Je t'ai pas trop manqué?!"

Elle souria, et fit rentré tout le beau monde chez elle, avant de leurs montrer une chambre où il y avait 3 lits.

_ C'est joli chez vous !!!

Sur le seuil de la chambre, Hide se retourna vers son professeur, un sourire jusqu'au oreilles. Il se baissa pour caresser le chien -Aoko de son petit nom, derrière les oreilles. En se baissant il avait oublié de soutenir Daisuke, qui faillit s'écraser encore une fois par terre, mais se contenta de glisser contre le mur.

* Alors c'est le chien à promener... pas de problème !!! *

_ J'aime beaucoup les chiens... Ce serait un plaisir de le la promener !!!

Il avait parlé avec politesse, et aurait certainement continué la conversation si la vue des trois lits ne l'avait pas fait bailler. Mettant la main devant sa bouch, il s'excusa, n'ayant pas remarqué être aussi fatigué.

Encore une fois, Hide refuse d'abandonner Daishuke à son sort...Dommage, vraiment dommage ! En effet, on ne pouvait absolument pas prevoir ses réactions et c'est ça qui effrayait un peu le jeune gothique. Puis, ils se smirent en route, le professeur d'anglais les guidant. En route, elle leur dit que si ils promenaient Aoko, ils ne n'auraient pas de dette.

*Quoi ? Un animal ? Mince ! Je prefere encore avoir une dette !*

Ils entrèrent enfin dans l'immeuble, prirent l'acenseur et entrèrent dans l'appartement. le chien arriva donc vers son maître. Kawashi eu du mla à dissimuler sa grimace. Decidement, il n'aimait vraiment pas ces animaux ! Kawashi vit les lits et contrairement à Hide qui bailla immediatement, lui, resta là, bêtement. En fait, il n'était pas vraiment fatiguer malgré leurs peripecies.